Arcana: Survivants, le jeu

Pour les motos, je suis pas pour. Ca fait un boucan du diable, ils nous suivraient à la trace, et on peut pas balancer des sorts à tout-va comme tu dis. Et en plus il faudrait se séparer, on peut pas tous monter dessus.

Sur ce, je me dirige vers Sam, prêt à le soutenir.

[Yeaaaaaah !]

Mais alors que les rivalités et les futilités battaient leur plein, une voix se fit entendre : le chef parlait, enfin un peu d'autorité dans cette anarchie la plus totale.
Un sourire pâle apparut sur son visage en écoutant le plan : voilà la première bonne idée de la journée ! Faire diversion, faire croire...
Sans dire un mot, il empoigna son arme et suivit Vash dans les égouts.

Non, l'idée des motos est très mauvaises, se serait envoyer nos motards à la mort. Ce qui n'est pas le but. Toutes les idées suicidaires de ce genre, ce n'est même pas la peine d'en parler à haute voie, vous pedrez votre salive inutilement... Tu peut prendre une mitrailleuse, mais vite, de plus elle risque de te gener dans la descente des escaliers, donc tu devrait la prendre plutôt après. Quand au bruit, le but est bien de faire du bruit, dans les égouts du moins...

Sur ce, j'ouvre la bouche [d'égouts xD] et je jette un coup d'oeil pour voir s'il y a du monde, ou des bruits.

J'espère que les soldats de tout à l'heure ne sont pas encore trop loin.

Très bien, je reste en surface pour faire le guet et pour aider Sam au cas où...

Sur ce, il alla rejoindre Sam et s'assit à côté de lui.

Mouais c'est vrai j'y ait pensé ais un peu tard.
Non je vais tout de meme la prendre.

Je récupere une mitraillete.Iol va y avoir du sport pensait je en regardant les munitions de celle ci.

Bon. Je regarde Vash et Charly a mes coté devant la bouche d'égouts. Je propose que Vash descende le premier, si il y a un probleme il pourra remonter, et nous le couvrirons, au plus vite afin qu'on mettent une plus grande de distance entre nous et les hommes qui sont dedans, j'ai oublier de préciser qu'ils était surveiller et je pense qu'ils on des chiens. Ensuite je descendrait, puis Charly me passera les mitrailletes pour qu'il puisse ainsi descendre, plus ou moins, tranquillement.

Je jette un coup d'oeil dans l'égout. Ensuite, en relevant la tete j'ajoute:
Euh quelqu'un a une lampe de poche?

(Les éléments qu'il vous manque pour continuer à jouer):

L'efficacité de la magie curative de Sivam est proverbiale. En quelques secondes, les chairs se ressoudent, le sang cesse de couler, la peau se recompose. Il n'y d'ailleurs pas de cicatrice. Sur le coup, comme secoué par un frisson, Sam ouvre les yeux et se relève d'un bond. Il cligne plusieurs fois des yeux, puis dit:
"Owaaaaw, quelle saloperie... Je pensais bien que j'allais y passer sur ce coup-là. Merci doc'. Mais... aaaah, mes yeux... Qu'est-ce qui m'arrive?"

Pris d'un doute, le médecin de l'équipe observa ses yeux. Pas de doutes, ses pupilles sont hyper-dilatées, de manière totalement anormale, et la cornée semble avoir pris un teinte blanchâtre. Avec des yeux dans un pareil état, il est normal qu'il soit aveuglé par le soleil, ou bien peut-être géné par cette sorte de cataracte. Espérez au moins que cette affection est temporaire...
Helen prends Sam sous son aile, lui rendant sa radio, l'aidant à se relever, lui résumant la situation, vous laissant à votre conversation.
On va dire que ça solde ton positif en Pm, simplifions les calculs.



Après avoir ouvert la bouche d'égoût, Vash se glissa à l'intérieur de l'immonde tunnel. Il decendit plusieurs barreaux d'échelle avant d'atteindre le sol, provoquant un clapotement d'eau.
Le tunnel n'est pas très éclairé, tout au plus une veilleuse à quelques mètres de là. Le manque d'entretien de la communauté a rendu certains services publics défaillants; le ramassage des poubelles, l'éducation nationale, les bibliothèques et les égoûts en sont les exemples les plus flagrants.

L'odeur est ignoble, il est difficile pour Vash de respirer autrement que par la bouche. Il s'arrêta et écouta attentivement.
Mais en dehors de ses propres respirations et du clapotis de l'eau habituel de l'égoût, aucun bruit ne se fait entendre.

Rien. Un silence de nécropole.

Bon, tenez vous prêt, tout ce qui bouge, à une mitraileuse et une uniforme de soldat doit être éxecuter sur le champs, et sans réfléchir de préference. On est pas la pour faire du shopping, donc pas de temps à perdre, je vais faire du boucan. Chuchotais-je à mes deux compagnons.

Je met mon arme au poing, prêt à tirer.

A L'AIDEEEEE !!!!! J'EN TIENS UN !!!!!!! VENEZ M'AIDER LES GARS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je ne me souviens pas avoir sourit comme ca depuis un petit bout de temps. Faire un massacre aaaaaah . Enfin je reviens sur scene.

Humanity be scary, Jack is back.
Mes dis je.



A L'AIDEEEEE !!!!! J'EN TIENS UN !!!!!!! VENEZ M'AIDER LES GARS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

C'est une solution comme une autre pour faire savoir qu'on est la.

Rejettant sa cape en arriere et flechissant vers l'avant le genoux droit Jack arma sa mitrailleuse dans une position proche de son art de combat qu'est l'escrime. Tel Sephitoth il est pret a degainer son arme et a tirer sur toute personnes ennemies s'égarant sur son chemin

Excusez moi pour cette faute linguistique.

Charly laissa le dingo descendre, puis lui passa les armes sans dire mot... Il n'aimait pas ce qu'il allait faire, mais le plan était génial il ne pouvait le nier. C'était son groupe ou les soldats, alors dans ces cas-là un peu d'égoïsme ne ferait pas de mal.
Il s'enfonça à son tour dans les ténèbres du monde souterrain, à l'affût du moindre bruit. Mais rien, sinon la puanteur et le bruit de l'eau. Immédiatement il récupéra sa mitraillette, et l'arma, murmurant du bout des lèvres une prière qui finissait par un "(...) et pardonnez-moi pour ce que je m'apprête à commettre..."
Alors que Vash hurlait un faux appel de détresse (astucieux), alors que le psychopathe prenait une position martiale plutôt... originale, l'ex-Sergent demandait à Dieu de lui pardonner, accroupi pour laisser moins possibilités aux balles ennemies de l'atteindre, prêt à canarder en bonne et due forme ses anciens compatriotes.

Le cri de Vash rebondit sur les parois des égouts, se répétant à l'infini. Toute personne qui était dans la même galerie que vous ne peut que l'avoir entendue.

L'écho des cris se dissippe peu à peu. Vous entendez des petits pas courir dans tous les sens (des rats?). Néanmoins, le silence règne toujours sur le couloir, troublé uniquement par le bruit de l'eau croupie qui coule entre vos pieds. Ces égouts sont tout ce qu'il y a de plus silencieux, et c'est vous les fauteurs de troubles...


A la surface, Sam semble s'inquiéter.
"Doc', qu'est-ce qui se passe ici? J'entends des cris, ils ne font pas de conneries au moins? Arh, ces fichus yeux... Passez-moi ma radio, il faut que je contrôle les appels. S'ils font trop de bruit, on va se faire repérer!"

Sur le sol, la radio grésille de codes inconnus à vos oreilles...

Bizarre, comment ce fait il que personne ne vienbnent a notre, soi disant, secours.
Nos yeux se sont surement habituer a l'obscurité et puis la lumiere grandissante de dehors devrais éclairer un peu ce sombre couloir.

Bizarre murmurais je a l'attention de mes copagnons.
Puis soudain une étrange sensation travesrse ma tête.
Nous avons ouvert un égouts, donc la lumiere doit pénétrer dedans. Or nous nous situons juste en dessous, de la bouche. Donc nous serons les premiers éclairer, donc vus et non les premier a voir. Et si la patrouille est asser doué pour passer inapercu,..., on risque de devenir les proies, et non les prédateurs.
Ecartez vous de la bouche d'égouts. Si ils arrivent trop silencieusement ils seront les premiers a nous voir. dis je soudain avec une legere crainte dans la vois. Si ca se trouve ils sont deja en train de nous viser.

Je recule de quelques pas afin de me metre dans l'ombre, en esperant de ne pas tomber nez a nez avec une de nos victimes.

Prend ca saleté de soldat. criai-je afin d'ajouter une certaine crédibilité au premier cri de Vash.

je met aussi le plus possible dans l'ombre, de préférence dans un coin, ou je peut voir toutes les issues possibles pour nos futures victimes.

Mes deux 9mm au poings, index sur la détente, tout mes sens sont en éveil. je retiens inconsciemment ma respiration. J'ai l'habitude de ces situations, mes mains me tremble pas, si le bout d'une arme ou d'un képi se pointe, je ferais feu avant qu'il est pu réagir. mes yeux s'habitue au noir petit à petit, l'attente me crispe, une goutte de sueur perle sur mon front. Mes doigts ne bougent toujours pas. Je sais que je peut tenir encore un moment cette position, et surtout cette concentration, mes amis aussi ? Il faut en finir avant que des soldats s'en prennent à ceux d'en haut. Je ne pourrait rien faire, et je ne me le pardonnerai pas. Le premier soldat qui se pointe se fait trouer la peau. Mes yeux sont complètement habitués au noir. Je suis prêt à tuer.

(Tal, c'est à toi de faire avancer les choses !! ;-)

Oui, c'est sûr, l'ombre peut être leur allier... Charly était sur le point d'obtempérer, mais quelque chose le retint au dernier instant, tandis que la faible lumière du jour éclairait son uniforme.
Un éclair de génie passa dans ses yeux, et alors il fit ce que personne n'attendait de lui : se coucher à moitié dans l'ombre, à moitié dans l'éclairage diffus de la surface, de manière que l'on puisse remarquer son uniforme militaire mais pas les traits de son visage. Il glissa soigneusement sa mitraillette derrière son dos, une main pas trop loin au cas où.
Il jeta un regard silencieux vers Vash, qui lui fit un léger signe de tête, signifiant à la fois son accord et sa compréhension.

"AAAAAAARGH" se plaignit-il, tremblant de quelques soubresauts en agrippant sa jambe claudicante, puis il ferma les yeux comme sous le coup d'une souffrance atroce.

Néanmoins son esprit, lui, était en train de s'ouvrir, réceptif à ce qui allait se passer : sa Sphère de Communion balaie l'horizon à la recherche d'une attaque future, prêt à réagir au plus vite et de la manière la plus adéquate. Alors, viendront-ils ? Quand ? Comment ? Quelle est l'étendue des possibilités ? Dieu seul sait ; Dieu seul lui dira.

Puisque le but est de se faire repérer, il n'y a plus aucune crainte à avoir concernant l'utilisation de la magie.

A la surface, Sam empoigna sa radio avec fébrilité. Malgré les soins, la douleur qu'il a ressenti sur le moment restait bien réelle, et il en avait les mains qui tremblaient encore.
Il posa l'écouteur sur son oreille et écouta attentivement. Ses lèvres égrainaient silencieusement des paroles que vous ne pouviez entendre.

"Ca n'a pas l'air bon... On n'est pas passé inaperçu apparemment, ils doivent nous surveiller. Mais qu'est-ce qu'ils entendent par "Owl"? Je n'ai jamais entendu ce code, ça m'inqiuète..."


Pendant ce temps, en bas, à moitié dans l'ombre, Charly scrutait les environs. C'était un peu...
... Un peu comme une mare de vie. Dans les égouts, les esprits sont partout. Il y a les animaux qui vivent là, les rats et les millers d'insectes. Mais il y a aussi les rebuts, les morceaux d'esprits nés de la destruction de leur objet d'origine. Tout cela souffle comme un courant d'air, et brille comme des millions de petites étoiles.
Dans les ténèbres de ses visions, elles l'illuminent, rendant les égouts plus brillants qu'un boulevard. Pourtant, de tous ces échos, pas un seul ne semble assez gros, pas un seul ne se dirige vers vous avec l'aura du fauve en chasse. Seul un seul point lumineux semble assez gros, mais il est minuscule à sa vue, comme l'est une étoile géante éloignée par des distances incommensurables. A une grande distance, un écho unique, une unique âme qui semble humaine, reste debout, sans bouger, tel une montagne immobile et éternelle. La vision...
... Se termina. Revenu à la vision normale, Charly fut replongé dans les ténèbres, ses yeux habitués à voir les miriades d'étoiles se retrouvant sans lumière.
6 Pm pour cette vision, Shad.


A la surface, le visage de Sam se figea en écoutant les grésillements de la radio. Il jura.
"Bande de CONS! On est surveillé et ils usent d'un sort! Merde, on est grillé!
Faites les remonter, vite! On n'a pas beaucoup de temps! Les détecteurs ne marchent que sur une courte portée, un kilomètre tout au plus. S'ils ont réussi à nous localiser, c'est qu'ils doivent être plus près que ça! Faites-les remonter et partons vite, ils ne faut pas qu'ils nous retrouvent!"

Sur ces derniers mots, Sam se releva. Il tangua une seconde sous l'effort, mais sa cheville toute "neuve" supporta parfaitement le poids. Néanmoins, toujours aveuglé, il se tourna dans tous les sens, sans trouver la bouche d'égout.
C'est un des mercenaires qui se plaça à côté de cette dernière, et, mettant ses mains en porte-voix, cria:


"Remontez vite! Sam a dit qu'on était grillé! Laissez tout tomber, les soldats arrivent! Remontez vite, grouillez-vous!!"

Merde, mais ce fait, il y a quand êe des gens dans cette saloperie d'égouts, j'ai pourtant pas rêvé, j'ai quand meme entendu des voix. dis-je a voix basse en regardant, ce qui me semble etre, Vash.


J'obéis sans poser de question, on a de toute façon perdu assez de temps dans cet égouts. A mi chemin, sur l'échelle, je me retourne en regardant Charly

T'as senti une présence humaine dans les environs, je veux dire dans les égouts?

La cavalerie va arriver d'un instant à l'autre ! On fait quoi ? Cria Stéphane en direction des égouts, ou se trouve pour le moment les gros bras de l'équipe ...

Bon, rapide ( ) délibération du groupe.

On remonte tous et on file par les rues.

Je fais signe aux autres de se grouiller à remonter, et je pointe mon arme vers les égouts pour protéger leur retraite, je remonterai en dernier. une fois en haut, on se mettra tous à courrir ventre à terre pour échapper à nos poursuivants.

Je termine la montée de l'echelle et je dit

On cours ventre à terre par les rues, dépechons.

Puis je me dirige vers Helen.

Laissez moi vous aidez.

Et je me met a courir (pas trop vite pour Helen) vers le supermarket.

Charly se releva en sursaut, le souffle court. Il n'y avait rien, strictement RIEN. Juste une étoile tout au fond et quelques rongeurs tout autour.
Génial !

"Une seule précense humaine, et elle était assez loin" dit-il au psychopathe en lui passant son arme à travers la bouche d'égout. "J'ai du mal à estimer exactement la distance, mais pour comparaison c'est comme si tu voyais une étoile : c'est très gros de près mais de là où nous sommes ça semble tout petit... Si c'est lui qui nous a repéré, il mettra un moment à arriver."

Puis il entreprit de monter l'échelle à son tour.

"S'il s'agit de détecteur léger, ils doivent être à moins de deux cent mètres" lança-t-il à la cantonade, se souvenant des séances d'information qu'il avait eu là-dessus à l'armée. "Plus pour les détecteurs lourds sur les tourelles ou les véhicules, mais je ne sais pas exactement... Faut filer au plus vite en tout cas : les détecteurs localisent le lieu où a été lancé le sort avec une extrême précision, mais si nous nous dépêchons ils ne sauront pas suivre notre trace."