Actioooooon !

Quelque part en Europe Occidentale.

Il fait nuit dans la ville, une de ces nuits d'hiver où il ne neige pas mais dont la température basse fait rester chez eux la plupart des gens et se rassembler les vagabonds dans les gares, les stations de métro et les décharges. Une grande silhouette encapuchonnée déambule dans une ruelle sombre. Soudain, elle s'arrête et regarde furtivement derrière elle. Apparemment satisfaite, elle se dirige vers une petite porte métalique qui est la seule ouverture du bâtiment de ce côté du bâtiment, mis à part une lucarne située cinq mètres plus haut d'où fuse une douce lumière verdâtre. La silhouette ouvre la porte et entre après avoir une dernière fois vérifié qu'elle n'était pas observée.

Sur un toît voisin, une ombre sort de derrière une cheminée en pierre rouges d'où s'échape une légère fumée. Elle se fige sur le rebord du toît et semble attendre quelque chose. Tout à coup, elle se ravise et disparaît de nouveau dans l'obscurité après avoir murmuré "Ca y est. Ca a commencé..."


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Londres, le lendemain.


Arentis Gengbito :

La joie des vacances ! Un beau voyage au pays de Merlin, un séjour dans certaines des auberges les plus convenables d'Angleterre... mais ceux-ci n'ont tout de même pas le charme des maisons typiques japonaises. Rien n'est parfait.
On frappe à la porte. Tu te redresse dans ton lit et grommelle " 'trez ! ".

[Ndla : pour des raisons évidentes de facilité de compréhension, tous les dialogues seront traduits automatiquement quand il s'agit de langues dans lesquelles les personnages sont sensés pouvoir se débrouiller]

L'employé de l'auberge ouvre timidement la porte, passe sa tête dans l'entrebaillement et te regarde d'un air interrogateur. Après un court moment, il se décide enfin à parler : "Excusez-moi de vous déranger, mais le directeur m'a ordonné de vous délivrer ce message immédiatement. Je le pose sur la table." Le jeune homme va déposer le billet sur la table de la chambre et se dépêche de sortir.

Tu décides d'abord de ne pas t'en occuper immédiatement, après tout, pour une fois que tu prends des vacances,... Mais, la curiosité l'emporte bientôt. Tu te lèves, t'approches de la table, prends la feuille de papier légèrement jaune et lis le message.

Cher Monsieur Gengbito,

Nous vous prions de bien vouloir vous préparer à une visite d'un agent du Ministère à 15h. Il vous rencontrera dans le bar de votre auberge.

Bien à vous,

H. Bonisagus





Volgorof Tanenoï :

Alors que tu mangeais à ton aise dans un petit restaurant de Londres, où tu étais de passage, un homme en costume gris âgé d'une quarantaine d'années vient s'assoir à ta table et, avant que tu n'aies pu dire un mot, dit à voix basse " Je suis désolé de vous déranger, Monsieur Volgorof, mais j'ai un message à vous transmettre. Je m'appelle John Kier ... On m'a chargé de vous remettre ceci." Il sort une lettre de la poche intérieure de son veston et te la tends en disant " Je ne saurais trop vous conseiller de faire ce qu'il vous sera demandé."

Intrigué et stupéfait, tu prends la lettre et la regarde un instant. Tu rediriges vivement ton visage vers l'homme en face de toi pour lui poser une question mais, à ta grande stupéfaction, il a disparu. Tu poses la lettre sur la table et termine ton petit-déjeuner ... petit-déjeuner à l'anglaise, bien sûr ! Enfin, tu reprends l'enveloppe et l'ouvre, après un rapide regard autour de toi, une vielle habitude. Dans la l'enveloppe, il y a un petit bristol avec un nom et une adresse :

Dowsing

24, Cleveland Street


De l'autre côté, il y a simplement écrit : soyez là à 16h sonnez trois fois




Bethyll Arielle :


C'est un matin on ne peut plus ordinaire, un samedi matin de douce et ennuyeuse normalité. Excepté une chose... une lettre. Une lettre reçue de bonne heure qui t'invitait à te rendre à 15h le jour même dans un bar à proximité du centre-ville, le "Carner's". Tu relis la lettre pour la cinquième fois, et plus tu la relis, plus elle te semble étrange. La lettre dit que c'est urgent et très important, sans donner le moindre détail. Elle est juste signée "Amos".

Samedi matin.

Journée de congé ... Un rendez vous à 15h au "Carner's" ... Peût être enfin un informateur pour le braquage de la veille, qui sait. En tous cas, cette entrevue me fera écourter mon jogging sur Hyde Park, se dit Arielle.

Soit, je n'ai pas le choix. Il faudra prévenir Anna, afin qu'elle ne s'étonne pas de devoir finir les 20 kilomètres hebomadaires toute seule. Le "Carner's" ... Où est-ce ? Une recherche rapide sur internet m'indique que c'est à ving minutes à pied de mon appartement. Soit, hé bien, il ne me reste plus qu'a trouver comment finir ma matinée ...

John Kier, John Kier, ce nom me dit rien.

Je demande a la serveuse, avec mon fort accent russe:
Encore un chocolat chaud s'il vous plait.

Je sort de mon sac un grand livre et je commence ma recherche, histoire de voir si oui, ou non c'est un mutant. Puis m'arretant, quand la serveuse arrive avec mon chocolat chaud, afin qu'elle ne puisse savoir ce qu'est mon livre. Je lui demande:

Auriez vous l'amabilité de m'amener un botin de téléphone du coté de Dowsing?

tout d'abords Arentis frissonna en voyant son nom orthographié sur le papier. Arentis s'éfforça de lisser les plis du papier avec son ongle parfaitement manucuré (les plis l'agaçaient) il le relu et le retourna entre ses doigts pour vérifier si il ne contenait pas d'informations explicites splémentaires il s'agenouilla devant son lit défait et posa dessus, devant lui, avec les bords bien paralllèles au bords du matelas la feuille de papier (les choses assymétriques l'agaçaient).

Arentis en portant ses doigts a sa tempe a écrit:

Je me demandes comment cette affaire va tourner et si des évennements dommageables vont me tomber sur la gueule si je me rends a ce rendez-vous

*Arentis fait usage de son pouvoir magique de divination*

Bethyll Arielle :

La matinée se passe sans aucun incident notable : les courses de la semaine à faire, un petit tour à Oxford Street faire les boutiques ... et oh mon dieu, le temps passe vite ! Déjà l'heure de rentrer se préparer à manger et puis aller au "rendez-vous" ...

14h56
Tu arrives au Carner's, petit pub typique, assez mal éclairé et dont les murs sont incrustés de l'odeur de bière et de tabac. Tu t'approches du bar et commande à boire. Une homme d'une vingtaine d'année vient s'installer près de toi, il est vêtu d'un long manteau en cuir noir.

- Vous êtes ponctuelle, Mademoiselle Bethyll, c'est très bien. Je me présente, je m'appelle Amos. C'est moi qui vous ai envoyé la lettre. J'ai une proposition assez intéressante à vous faire. Je sais que votre métier vous plaît mais que vous n'en êtes pas entièrement satisfaite. Vous espéreriez plus, n'est-ce pas ? Vous pressentez qu'il y a des choses qu'on ne vous dit pas... Si vous voulez bien m'accompagner à une petite ... réunion... je pense que vous la trouverez intéressante. Rien ne vous y oblige, bien sûr. Vous serez toujours libre de faire marche arrière.

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Volgorof Tanenoï :

La serveuse amène un chocolat chaud et un botin de téléphone.

- Désolée, mais je ne connais pas "Dowsing", et nous n'avons que le botin de Londres...

Tu remercies la serveuse et regarde à tout hasard dans le botin qu'elle t'as apporté. Tu trouves bien Cleveland Street, c'est une rue du centre de Londres. "Dowsing" doit être le nom de qqn ...

Tu n'as trouvé aucune trace de l'homme qui t'as contacté dans tes recherches.

La matinée avance à grands pas et touche presque à sa fin.


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Arentis Gengbito :

De tes analyses divinatoires, tu peux ressortir deux signes, mais qui ne te mènent pas à grand chose : Voyage et Amitié... Pas très clair tout ca !

Tes recherches t'ont pris pas mal de temps et il va bientôt être temps de prendre un repas. Tu descends donc dans la salle principale de l'auberge pour te nourrir. On te sert une spécialité de la maison, une sorte de bouillie qui n'a pas l'air très encourageante au premier abord, mais qui s'avère tout à fait mangeable, et même pas si mauvaise, en fin de compte.

Après le repas, tu consultes ta montre : il te reste un peu de temps avant que l'employé du ministère n'arrive.

Arielle examina l'homme, en essayant de comprendre ce qu'il voulait dire par "On ne vous dit pas tout". C'est vrai qu'à certain moments, elle avait eu l'impression que le commissaire Gregoriev lui cachait certains éléments d'affaires plutôt louches, mais elle s'était, jusque là, toujours dit que c'étaient de pures coincidences. Elle réfléchit quelques instants, puis demanda

Cette réunion dont vous parlez, elle a lieu où et quand ?

Da, Je paye ma note puis je sort et je hele un taxi.

24, cleveland street s'il vous plait. (Toujours avec mon accent russe)

Une fois arriver je paye, encore, ma note de taxi. Je sort et j'observe la maison et les alentours. En fesant mine de chercher quelqu'un ou quelque chose.

Puis je me dirige vers la porte et je regarde le nom qu'il y a sur la sonnette, et je fait le tour du bloc en observant les alentours.

j'étudies intensément la symétrie du vol de mouches Britaniques qui évoluent dans la salle principale tout en essayant de me souvenir depuis quant les sorcier portent des montres en attendant l'arrivée de Bonisagus

Bethyll Arielle :

-Et bien, à 16h30 aujourd'hui même dans une maison non loin d'ici. Vous pouvez emmener votre arme si vous le désirez. Mais vous ne risquez rien.

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Volgorof Tanenoï :

Il y a deux sonnettes, sur celle du haut il y a marqué "Dowsing" et sur celle du bas il y a simplement marqué "O"...

Le quartier est calme, malgré la proximité du centre-ville. Tu ne remarques rien de suspect. Il y a un café d'où tu peux observer le numéro 24 non loin. Il est midi.

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Arentis Gengbito :

A 15 heure, un homme assez âgé, les cheveux grisonnants entre dans l'auberge. Il jette un regard circulaire dans la salle, ses yeux s'arrêtent un instant sur toi, puis continuent leur tour d'horizon. Enfin il s'approche de toi. Il te tend la main.

- Hemeric Bonisagus, enchanté. On m'a demandé de vous rencontrer personnellement. Nous avons besoin de votre aide. Mais si vous voulez bien me suivre, on pourra vous expliquer tout cela depuis le début...

Tu le concidères avec apréhension. Il a un air de grand-père bien conservé qui inspire confiance, mais faut-il le croire pour autant ?

- Je ne vous veux aucun mal, au contraire...

[Ndla : pour les informations historiques sur les montres des mages, se référer à la section Time Out]

Je le suis. M'en référant à le présage d'amitié que j'ai eu le matin même...de plus même si il me guide vers un getapens le danger peut-être distrayant.
Par contre je me demandes qui peut bien avoir besoin de moi... je suis le meillurs c'est vrai mais quand même.

Arentis en se levant pour serrer la main du viel homme a écrit:

je vais vous suivre avec plaisir Bonisagus-san mais permettez moi d'aller d'abords chercher les modestes affaires qui se trouvent dans mon humble chambre.

Qui était-ce donc cet homme ? se demanda Arielle. Elle n'en avait aucune idée, mais elle était prête à le suivre. Non pas parce qu'elle en avait réellement envie, mais parce qu'elle ne l'avait jamais vu auparavent, et qu'il semblait connaitre pas mal de choses sur elle. Celà ne lui plaisait pas tellement, elle aimait bien rester discrète ...

Très bien, dit Arielle en finisant son verre.

Après avoir jetté un rapide coup d'oeil à la pendule du bar -15h08- elle dit à Amos

Venez, allons faire un tour. Je n'ai pas l'habitude qu'un inconnu en connaisse tant sur moi, alors, si vous le voulez bien, avant de me rendre à votre petite sauterie, j'ai quelques questions, histoire de remettre la balance à zéro ...

(jai envie de foutre la merde , mais je vais essayer de m'abstenir)

Je sonne au "O"

Si on vient m'ouvrir:

Straftoitie (ce qui sifgnifie bonjour en russe) J'ai un rendez vous avec Mr Dowsing, mais personne ne semble etre la. Auriez vous l'amabilité de me permetre d'entrée dans son apartement???

Si personne m'ouvre:

Je fait geler la serrure de facon a la casser, et je rentre tout simplement.

Arentis Gengbito :

-Mais bien entendu, je vous attends ici.

Tu remontes dans ta chambre et rassembles tes affaires, ce qui est vite fait. Lorsque tu redescends, Bonisagus est toujours là, assis sur une chaise. Il se lève en te voyant arriver, reprend son manteau qu'il avait posé sur le dossier et te prie de le suivre. Vous empruntez la porte de derrière pour sortir, qui, au lieu de donner sur une cour intérieure ou une ruelle, donne sur une rue large avec des maisons d'apparence moyen-âgeuses. La rue est pleine de Magiciens qui vont et viennent, se parlent aux terrasses des cafés, font des emplettes dans quelques rares magasins. Bonisagus entre dans un café et, tout en te faisant signe de le suivre, passe une porte qui donne sur une rue près du centre-ville. Tu passes la porte et regardes derrière toi. Vous semblez sortir d'un immeuble délabré dont les fenêtres sont pour la plupart murées.

Vous déambulez un petit temps dans les rues de la ville.

- Ne vous en faites pas, nous y sommes presque.

Enfin, Bonisagus s'arrête devant une maison. Il passe deux doigts sur la serrure. Celle-ci émet un léger "clic". Le vieux magicien ouvre la porte et t'invite à entrer. C'est une très vieille maison, qui doit dater de l'époque victorienne. Bonisagus va ouvrir une des portes qui donne sur le vestibule en disant :

- Si vous voulez bien attendre dans cette salle, nous attendons encore quelqu'un... (il consulte sa montre) qui ne devrait plus tarder.

Il te laisse entrer et referme la porte derrière toi. C'est un petit salon assez confortable, avec deux divans, des tableaux et du beau mobilier en bois fins et délicats. Tu peux remarquer quelques statuettes asiatiques parmi toutes les curiosités de cette salle.


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Bethyll Arielle :

- Euh ... Oui très bien, si vous voulez, mais il se peut que je vous demande d'attendre pour répondre à certaines de vos questions, en effet il me faudra expliquer certaines choses à d'autres également, et j'aimerais autant ne le faire qu'une fois...


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Volgorof Tanenoï :

Personne ne répond.

Tu tentes de geler la serrure mais celle-ci ne cède pas. Tu remarques que la glace fond très rapidement. Tu réessayes ... même résultat.

Soudain, un bruit, comme un très léger "boum", retentit derrière toi. Tu te retournes en sursaut. Tu as à peine le temps de distinguer une silhouette qui murmure quelque chose que tu ne parviens pas à comprendre et tout devient noir. Tu as la sensation de tomber dans un énorme trou.

[Ndla : Et ne viens pas te plaindre, j'ai été TRES gentil sur ce coup-là !!!
De plus, selon mes légères connaissances en russe, aux dernières nouvelles "Bonjour" se prononçait plus "Zdrastvouïtyé" mais c'est un détail]

Arielle se leva, laissant de l'argent pour sa boisson, et un petit pourboire pour le barman. Après être sortie du pub en compagnie d'Amos, elle commenca, sur un ton neutre, à lui poser quelques questions ...

( HRP : par facilité, je mets toutes les questions en un seul bloc, à lire comme un dialogue )

Je suis désolée, mais dans un pub, les oreilles trop curieuses sont légion et sont fort gênantes pour discuter tranquillement. Alors, déjà, vous avez dit ne pas vouloir vous répéter. Celà voudrait dire que je ne serai pas la seule à venir pour la première fois à votre petite réunion, qui sont les autres ? Des collègues ? ... Je suppose que vous ne voudrez pas encore me dire pour qui vous travaillez, mais comment savez vous tant de choses sur moi ? ... Et puis, pourquoi je vous ferait confiance ?

Ha et pour l'arme ... C'est ma meilleure assurance vie, alors vous comprendrez que je l'ai toujours sur moi ...

Bethyll Arielle :

Citation :

Cela voudrait dire que je ne serai pas la seule à venir pour la première fois à votre petite réunion, qui sont les autres ?

Il esquisse un léger sourire en coin.
- On ne peut rien vous cacher ...

Citation :

Des collègues ?

- Vous êtes curieuse, c'est bien mais cela peut s'avérer dangereux dans certaines circonstances. Pour réponde à votre question, c'est non.

Citation :

Je suppose que vous ne voudrez pas encore me dire pour qui vous travaillez,

- En fait, je travaille pour moi, en grande partie.

Citation :

mais comment savez vous tant de choses sur moi ?

- Là je ne peux pas vous répondre, sinon vous dire que je suis bien renseigné.

Citation :

Et puis, pourquoi je vous ferait confiance ?

- Là se situe le plus gros problème pour vous : vous ne pouvez absolument pas savoir si vous pouvez me faire confiance ou pas... Et il n'y aura malheureusement qu'une seule manière pour vous de le découvrir.

Arielle resta silencieuse quelques instants.

Très bien, où est-ce ? J'ai encore un petit quelque chose à régler chez moi, mais je serai à 16h30 là où vous me direz ...

Arentis se leva pour examiner les oeuvre d'art de la maison de cet "Hordonnateur de la béatitude de Swimaf" en attendant avec impassiance la suite des évènements ...

Il alla égallement farfouiller dans son sac de voyage pour vérifier que son Katana soit bien a portée de main ou cas ou la situation dégènèrerait.

Bethyll Arielle :

- Très bien, si vous le prenez comme cela. Soyez à 16h30 précise au 24 Cleveland Street. Sonnez à Dowsing 3 fois... Surtout ne soyez pas en retard.

Amos s'éloigna d'un pas décidé en chaussant des lunettes de soleil noires, son long manteau voletant au rythme régulier de ses pas.


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Arentis Gengbito :

Le temps passe lentement. Ton katana est toujours bien à sa place. Juste quand tu allais refermer ton sac, la porte s'ouvre. Un homme habillé d'un smoking noir reste sur le pas de la porte.

- Désolé de vous faire patienter ainsi. On m'a chargé de m'occuper de vous. Désirez-vous quelque chose à boire ?

Quel etrange sensation...
Je me sens comme... Si ...
Je ne saurais decrire ce qu'il m'arrive.

Apres un long moment dans le noir je tente de bouger d'abord mes doigts, ensuite ma main. Et pour finir j'ouvre mes yeux.

Citation :

sans façon dites moi plustot ce que je peux faire pour vous monsieur

Bethyll Arielle :

La porte s'ouvre. Il n'y a personne ... une porte automatique apparemment. Tu entres dans la maison, c'est une vieille baraque pleine d'antiquités.

Un homme en costume noir débouche de derrière un couloir.

"Bonjour Mademoiselle, si vous voulez bien me suivre."

Il se retourne et suit le couloir qui te fait face. Il s'arrête devant une porte, l'ouvre et te fait un signe qui t'invite à entrer. Pas tout à fait rassurée, tu entres dans une pièce assez sombre, qui s'avère être un bureau richement décoré. La porte se referme derrière toi. Les murs sont couverts d'étagères où s'entassent les livres. Un bureau en bois sombre trône en plein milieu de la pièce. Derrière, il y a une chaise avec accoudoirs et dossier en cuir, devant, quatre chaises identiques sans accoudoirs.

Tu as à peine le temps de promener ton regard sur ces différents objets que la porte s'ouvre de nouveau. Tu te retournes.

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Arentis Gengbito :

L'homme porte ses doigts à son oreille, le bout de la paume de sa main devant la commissure droite de sa bouche. Il semble écouter quelque chose que tu ne peux entendre.

"En fait, si vous voulez venir avec moi, la réunion va commencer."

Il s'écarte de la porte et te fait signe de sortir du salon. Vous sortez et remontez un couloir. L'homme te désigne une porte.

"C'est ici." Il passe à côté de toi pour ouvrir la porte, tourne la poignée et s'écarte pour te laisser entrer dans un bureau sombre. Dans la pièce, il y a quelqu'un qui se retourne en direction de la porte d'où tu entres. C'est une jeune femme.

Arielle se demandait où elle était tombée. Etrange façon que de recevoir les gens en les faisant entrer sans même se présenter. Soit. Voyons plutot qui va sortir de cette porte cette fois ...

Bonjour monsieur ... ? Dit Arielle à l'homme qu'elle voyait entrer, en insistant sur le monsieur, afin qu'il comprenne qu'elle voulait qu'il se présente ...

Bon ça fait toujours plaisir quand le petit personel réponds a vos questions...

Peu importait Arentis reporta plustot son attention sur la jeune femme et la détailla de la tête au pied.

Arentis en executant une courbette à la japonnaise a écrit:

Je me prénommes Arentis je travailles pour la compagnie d'assurance Tokyshima. Mais je suis actuellement en vacances...On m'a dit que l'on avait besoin de mes services ici mais je doute que ces messieurs aient besoin d'une assurance

Arentis poursuivit a écrit:

Et vous ?

Un japonnais, se dit Arielle. De plus en plus bizzare ... Masquant sa confusion totale, Arielle répondit à l'assureur :

Arielle, Bethyll Arielle ...

Arielle s'inclia de la même manière que le japonnais, en se disant qu'ainsi elle répondrait à son salut à l'asiatique, puis après s'être relevée, continua

En fait je travaille dans les services publics, et on m'a juste fixé rendez vous ici, sans trop m'en dire plus ... Vous sauriez peut-être m'en apprendre d'avantage, même si, à mon avis, vous n'êtes pas celui qui m'a conviée, et que nous ne seront pas que deux ...